C’est maintenant tombé. Karim Benzema a pris sa décision.
Tout s’est accéléré ce mercredi au Real Madrid. Voulant se donner un nouveau défi, Karim Benzema était à Valdebebas, centre d’entrainement des Merengue ce mercredi 11h pour rencontrer Florentino Perez le président des Blancos. Rencontre qui n’aurait visiblement pas changé l’avis du quadruplé meilleur joueur français à l’étranger. Benzema est décidé à partir.
Ceci, après 14 saisons passées du côté d’un Real Madrid où il a tout gagné. Ballon d’Or en prime en 2022, Karim Benzema se dirige vers la fin de l’aventure avec un départ cet été.
Raison, l’approche de l’Arabie Saoudite particulièrement de Al Ittihad, semble avoir fait mouche. D’après les échos de Foot Mercato ce mercredi soir, Karim Benzema aurait annoncé au Real Madrid, ce jour son intention de quitter le club.
L’offre saoudienne a été suffisamment convaincante pour que Benzema décide de tourner la page du club merengue. Alors que Foot Mercato précise cependant que le Real Madrid ne désespère pas de le faire changer d’avis, la presse espagnol et Relevo se montrait assez claire ces dernières heures. Si Benzema décide de partir, le club respectera son choix, quand bien même cela bouscule le prochain Mercato estival des Merengue, qui vont devoir trouver un buteur d’envergure.
Kane ou Osimhen pour le remplacer
Le Real Madrid a lancé son plan B. Les Merengue foncent sur l’attaquant Nigérian de Napoli, Victor Osimhen pour remplacer Karim Benzema.
D’après Marca, le Real Madrid creuserait la piste Victor Osimhen pour mettre une croix sur Benzema.
L’autre joueur qui attire l’attention des Madrilènes est Harry Kane. L’Anglais serait la priorité des Merengues si l’ancien Lyonnais décidait bel et bien de partir. Mais si les dirigeants du Real veulent attirer Kane, ils vont devoir mettre la main à la poche. D’après AS, le président de Tottenham, Daniel Levy, attend environ 115 millions d’euros pour le laisser partir. Et ce, même s’il ne reste à l’attaquant anglais qu’un an de contrat avec les Spurs. Levy est réputé dur en affaires, et on imagine mal qu’il acceptera de négocier à un prix bien inférieur à celui qu’il a fixé.