En annonçant l’organisation cet été de la première édition de l’Esports World Cup, l’Arabie saoudite a conforté sa place d’acteur majeur de l’esport. Un secteur devenu partie intégrante de la stratégie du pays de soft power, censée améliorer son image.
Cristiano Ronaldo, entre deux matches avec Al-Nassr, Gianni Infantino, le président de la FIFA, Alejandro Agag, le fondateur du Championnat du monde de Formule E… Au Ritz-Carlton de Riyad, le 23 octobre, plusieurs pontes du sport mondial avaient répondu à l’invitation du prince héritier Mohammed ben Salmane pour la dernière de la « New Global Sports Conference », le grand raout organisé par le gouvernement saoudien.