À l’occasion des combats très attendus Balla Gaye 2 vs Siteu et Liss Ndiago vs Ada Fass, des scènes inédites ont été observées autour des arènes sénégalaises. De jeunes parieurs, certains munis de fortes sommes d’argent – plusieurs millions de francs CFA – ont été vus misant sur les résultats de ces affrontements.
La lutte sénégalaise, sport national et passion populaire, devient ainsi un terrain d’enjeux financiers importants, voire risqués. En l’absence de régulation claire, le phénomène des paris informels prend de l’ampleur, attirant une jeunesse à la recherche de gains rapides, mais exposée aux dérives de l’addiction et de l’endettement.
Les autorités sportives et sécuritaires sont interpellées sur cette nouvelle facette de la lutte, qui mêle spectacle, passion et spéculation.
C’est d’une extrême gravité ce qui se passe dans ce pays https://t.co/PtY1ouFWZ0 pic.twitter.com/JlpbL91JZe
— Gora Diop (@Prince_Diioop) July 18, 2025