Coup d’œil dans le rétro avec un passage en revue de tous les ballons officiels de la Coupe du Monde de la FIFA™, du T-Model de 1930 aux plus récents.
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Le ballon officiel de la Coupe du Monde de la FIFA 26™ sera dévoilé le 2 octobre
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Le T-Model était le ballon de la toute première Coupe du Monde, mais il a servi pendant seulement 45 minutes lors de la finale
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Depuis 1970, adidas est le fournisseur officiel de ballons de la reine des compétitions
Le Tango. L’Azteca. Le Telstar. La Coupe du Monde de la FIFA™ a gratifié les amateurs et amatrices de football de certains des ballons les plus emblématiques de notre sport.
Du premier modèle de 1930 au plus récent, découvrez tout ce qu’il y a à savoir sur leur design, leur conception et leurs différentes versions utilisées sur la plus grande scène mondiale, alors que le ballon officiel de la Coupe du Monde de la FIFA 26™ sera dévoilé le 2 octobre.
Uruguay 1930 : le T-Model
Nommé en référence à ses onze panneaux de cuir en forme de T cousus à la main, le T-Model a été utilisé lors de certains matches de la toute première Coupe du Monde de l’histoire. Ayant déjà servi lors des Jeux Olympiques de Paris 1924 et d’Amsterdam 1928, il a de nouveau été adopté en 1930.
Fait insolite, pour la grande finale, l’arbitre John Langenus a demandé aux capitaines de l’Uruguay et de l’Argentine de choisir le ballon de la rencontre. Le premier préférait le T-Model, tandis que le choix du second se portait sur le Tiento (en photo ci-dessous), constitué de 12 panneaux allongés. Comme les deux hommes se sont montrés incapables de tomber d’accord, il a été décidé que les deux ballons seraient utilisés… pendant une mi-temps chacun.
À l’issue de la première période, jouée avec le Tiento, les Argentins menaient 2-1. Au retour des vestiaires, les Uruguayens ont marqué trois buts avec « leur » T-Model pour finalement l’emporter 4-2.
Italie 1934 : le Federale 102
Le modèle Federale 102 a été conçu par un fabricant italien. Pendant la compétition, au moins deux autres ballons ont été utilisés, notamment pour la finale. Cette fois encore, le choix du ballon a été laissé aux capitaines avant la rencontre.
Le Federale 102 était composé de 13 panneaux en cuir cousus à la main. Afin de rendre les têtes moins désagréables, l’incision pour la vessie était recousue avec du fil de coton plutôt qu’avec des lacets de cuir.
Parmi les autres ballons de la compétition figuraient le Globe et le Zig-Zag, tous deux conçus par des fabricants anglais. Produit par l’entreprise William Sykes dans un style semblable au T-Model, c’est le Zig-Zag qui a été retenu pour la finale, qui a vu le pays hôte l’emporter 2-1 face à la Tchécoslovaquie après prolongation.
France 1938 : l’Allen
Comme pour toutes les Coupes du Monde entre 1934 et 1966, le ballon officiel de l’édition 1938 a été fabriqué dans le pays hôte, en l’occurrence à Paris.
Les ballons Allen utilisés pendant les matches de la compétition ne portaient aucune marque, à l’exception de celui de la finale. Pour l’occasion, le nom de l’entreprise a été rajouté à des fins de promotion.
Dans un style similaire au Federale 102 et ses 13 panneaux et fils de coton, le Allen avait également servi lors des Jeux Olympiques de Paris 1924.
Brésil 1950 : le Superball Duplo T
En dépit de la mention « Industria Brasileira » inscrite sur le Superball Duplo T, son fabricant, l’entreprise Tossolini, Valbonesi, Polo & Cia, était d’abord basée en Argentine. Le ballon était d’ailleurs originellement baptisé « Superval Doble T ».
Mais après la Seconde Guerre mondiale, la firme a ouvert une filiale au Brésil, avant de devenir le fournisseur de ballons officiels de la Coupe du Monde. Quelques légères modifications ont alors été apportées au modèle initial.
Le Superball Duplo T a été le premier ballon sans lacets, gonflé grâce à une valve insérée directement dans l’un des 12 panneaux de cuir cousus à la main. Sa surface était ainsi plus uniforme, ronde et étanche. De même, les bords arrondis et le poids plus léger des panneaux offraient une protection supplémentaire aux coutures et permettaient plus de résistance et de stabilité.
Suisse 1954 : le Swiss World Champion
Conçu en cuir gras, le Swiss World Champion revêtait un aspect légèrement jauni qui le rendait plus facilement visible depuis les tribunes que les précédents ballons, généralement de couleur brune.
Cette propriété s’est avérée particulièrement utile lors de la finale entre la Hongrie et la RFA, qui a débuté sous une pluie battante, rendant le terrain extrêmement boueux. Les conditions difficiles n’ont cependant pas empêché les Allemands de l’emporter 3-2 à la surprise générale lors du « Miracle de Berne ». À l’époque, les ballons en cuir imperméables n’existaient pas encore et le Swiss World Champion s’est nettement alourdi au fil du match.
Ce ballon était confectionné avec 18 bandes de cuir allongées et assemblées par trois avec des fils en nylon pour former des panneaux aux contours dentelés dont le design inspire encore de nombreux fabricants
Pour la Coupe du Monde 1958 en Suède, la FIFA a organisé une sélection pour choisir le ballon officiel de la compétition. Au total, 102 ballons sans marque ont ainsi été présentés au comité organisateur et au Président de la FIFA de l’époque, Stanley Rous.
Les noms des fabricants correspondants ont été tenus secrets dans des enveloppes scellées et numérotées à ouvrir après le choix final, et c’est le n°55 – le Top Star – qui a été sélectionné.
Le ballon à 24 bandes de cuir ciré pour améliorer son étanchéité était proposé en jaune, marron clair et blanc. C’est cette dernière version qui a été utilisée pour la plupart des matches, dont la finale remportée 5-2 par le Brésil face au pays hôte. Avec le jeune Pelé dans ses rangs, la Seleção s’est alors adjugée la première Coupe du Monde de son histoire.
Il faut croire que le Top Star était particulièrement apprécié par Just Fontaine, puisque c’est lors de Suède 1958 que le Français a réalisé la prouesse d’inscrire 13 buts en une même édition, un record qui n’a toujours pas été battu.
Chili 1962 : le Mr Crack
Les 18 panneaux de cuir qui composaient le ballon de Chili 1962 étaient plus arrondis que ceux de ses prédécesseurs, ce qui donnait à Mr Crack une apparence plus sphérique. C’était également le premier ballon officiel d’une Coupe du Monde à présenter une valve en latex, lui permettant de mieux retenir l’air et donc de conserver sa forme plus longtemps.
Quand adidas s’est lancé dans la confection de ballons de football en 1963, l’un de ses premiers modèles a été baptisé « Santiago », en hommage à cette édition, et il s’inspirait du design de Mr Crack.
Du fait de problèmes d’absorption d’eau, plusieurs équipes européennes ont préféré jouer avec d’autres ballons, dont le Top Star, notamment lors du quart de finale entre la Tchécoslovaquie et la Hongrie
Angleterre 1966 : le Challenge 4-Star
Avant le lancement de la Coupe du Monde 1966, 100 ballons sans marque ont été présentés à la Fédération Anglaise de Football pour qu’un groupe d’experts évalue leur circonférence, leur sphéricité, leur poids, leur perte de pression et leur distance de rebond.
Fabriqué par l’entreprise anglaise Slazenger, réputée pour ses équipements de tennis et de golf, c’est le Challenger 4-Star qui a été sélectionné. Le ballon était composé de 25 panneaux et disponible en blanc, jaune et orange.
C’est toutefois ce dernier coloris qui a le mieux symbolisé la compétition, après avoir été utilisé pour la mythique finale entre l’Angleterre et la RFA. Ce jour-là, Geoff Hurst est devenu le premier joueur de l’histoire à inscrire un triplé en finale de Coupe du Monde pour offrir aux Three Lions une victoire 4-2 à l’issue de la prolongation.
Mexique 1970 : le Telstar
La Coupe du Monde 1970 a marqué un tournant pour la compétition, puisqu’il s’agissait de la première fois où adidas était désigné fournisseur de ballons officiels, un partenariat encore d’actualité aujourd’hui.
Fondée par Adi Dassler, ancien intendant de l’équipe de RFA, l’entreprise a révélé l’emblématique Telstar. Composé de 32 pièces de cuir, 12 pentagones noirs et 20 hexagones blancs, il est à l’origine de la représentation universelle que l’on se fait d’un ballon de football à travers le monde.
Il tirait son nom de sa ressemblance avec les panneaux solaires noirs sur fond blanc du satellite de communication Telstar, qui a permis les premières retransmissions de télévision en direct et à l’international. C’est notamment grâce à lui qu’a été diffusée l’édition 1970 au Mexique, remportée brillamment par le Brésil.
Également disponibles en orange et en blanc, les ballons utilisés pendant la compétition ne portaient ni la mention « Telstar », ni le logo adidas.
Allemagne 1974 : le Telstar Durlast
Conçus d’après le même design, les Telstar des Coupes du Monde 1970 et 1974 étaient tous deux recouverts d’un revêtement plastique Durlast, qui leur offrait une meilleure étanchéité. Cette couche protectrice a cependant donné son nom uniquement au second.
Pour l’édition organisée en Allemagne de l’Ouest, adidas a également produit une version entièrement blanche du ballon, le « Chile Durlast », parfaite pour les rencontres de nuit avec éclairage, et une version orange baptisée « Apollo Durlast », idéale en cas de neige.
Contrairement aux deux Coupes du Monde précédentes, les ballons de match comportaient le nom de la marque, du modèle et du fabricant, ainsi que la mention « Official World Cup 1974 » ([ballon] officiel de la Coupe du Monde 1974).
Argentine 1978 : le Tango Durlast
Baptisé en référence à la célèbre danse argentine, le Tango présentait un design saisissant. Les pentagones noirs du Telstar étaient désormais blancs, et les hexagones ornés de triades incurvées. Le modèle est très vite devenu emblématique et fut repris pour les cinq éditions suivantes de la compétition.
Fabriqué en France et cousu à la main, le Tango était également recouvert du même revêtement plastique que les Telstar de 1970 et 1974.
Le ballon a plutôt bien réussi au pays hôte, puisque l’Argentine a soulevé le trophée en s’imposant 3-1 en finale contre les Pays-Bas, grâce à deux buts inscrits en prolongation.
Espagne 1982 : le Tango España
Tout en s’inspirant du succès de son précédent modèle, adidas lui a apporté quelques légères modifications pour sortir le Tango España.
Les hexagones comportaient toujours les 20 triades noires se rejoignant pour former 12 cercles, mais le revêtement des anciens ballons était remplacé par une couche de polyuréthane, elle-même renforcée au niveau des coutures.
Trente ans après l’édition espagnole, le ballon officiel de l’EURO 2012 accueilli conjointement par la Pologne et l’Ukraine a été baptisé « Tango 12 », en hommage à son prédécesseur.
Mexique 1986 : l’Azteca
Nommé en référence à la grande civilisation implantée dans la région du XIVe au XVIe siècle, le ballon Azteca reprenait le design du Tango.
Les triades étaient toutefois légèrement modifiées pour intégrer des motifs renvoyant à l’architecture et aux fresques aztèques.
Toujours fabriqué en France, il s’agissait également du premier ballon officiel d’une Coupe du Monde à être entièrement conçu en matériaux synthétiques. Il garantissait ainsi une faible absorption de l’eau et une meilleure résistance.
Italie 1990 : l’Etrusco Unico
Baptisé en hommage au peuple étrusque, qui a vécu en Italie centrale et du Nord du IXe au Ier siècle av. J.-C., l’Etrusco Unico s’inscrivait dans la tradition des ballons adidas lancée en 1982.
Chacune des triades caractéristiques était ornée de trois têtes de lion représentées gueule ouverte, un motif récurrent de l’art étrusque retrouvé sur de nombreuses sculptures et parures.
Ce ballon a rencontré un franc succès et a été réutilisé lors de l’EURO 1992 en Suède et lors des Jeux Olympiques de Barcelone la même année.
États-Unis 1994 : le Questra
Pour marquer le 25e anniversaire de la mission Apollo 11, les triades du Questra présentaient des motifs en forme de planètes, d’étoiles et de fusées.
Comme depuis 1970, le ballon était composé des 12 pentagones et 20 hexagones reconnaissables par tous les amateurs et toutes les amatrices de football du monde entier.
À domicile, le parcours des États-Unis s’est arrêté en huitièmes de finale après une défaite 1-0 contre le Brésil, qui a ensuite soulevé le trophée à l’issue d’une séance de tirs au but haletante face à l’Italie en finale (0-0 a.p., 3 tab à 2).
France 1998 : le Tricolore
Le ballon Tricolore était synonyme de plusieurs innovations de la part d’adidas concernant l’apparence et la fabrication de ses ballons officiels de la Coupe du Monde. En effet, c’était la première fois que l’équipementier dévoilait un ballon comportant plusieurs couleurs et qu’il intégrait une mousse syntactique à sa confection.
Reprenant tout de même le design de ses prédécesseurs, Tricolore arborait des triades bleu, blanc, rouge, en référence au drapeau du pays hôte. Chacune d’elles présentait également trois coqs stylisés, animal symbole de la France, dont la crête rouge forme le logo adidas.
Constituée de microbilles ultra résistantes remplies de gaz, la mousse syntactique qui recouvrait le ballon permettait d’en améliorer la vitesse et la restitution d’énergie. Cette technologie est encore utilisée de nos jours.
Corée/Japon 2002 : le Fevernova
Le ballon de la Coupe du Monde 2002 a marqué une rupture avec le design alors utilisé depuis plus de vingt ans. Si les 12 pentagones et 20 hexagones étaient toujours présents, les triades des cinq derniers ballons ont laissé place à quatre trigones.
Le Fevernova, qui devait son nom à la contraction des deux termes « fever » (fièvre) et « supernova », était revêtu d’une couche de mousse syntactique améliorée conférant au ballon un meilleur amorti, pour plus de contrôle et de précision.
Quant aux quatre trigones, ils étaient inspirés des éoliennes et rendaient hommage à l’utilisation des sources d’énergies alternatives.
Allemagne 2006 : le Teamgeist
Le Teamgeist (« esprit d’équipe » en allemand) a marqué un nouveau pas en avant dans la conception de ballons de football, puisqu’il possèdait la propriété d’être une sphère parfaite à plus de 99 %.
Les pièces pentagonales et hexagonales habituelles étaient remplacés par 14 panneaux en forme d’hélice thermocollés, et non plus cousus.
Les couleurs blanches et noires du ballon faisaient référence à la tenue traditionnelle de la Nationalmannschaft, tandis que les lignes dorées évoquaient le Trophée de la Coupe du Monde.
Une édition spéciale couleur or, le Teamgeist Berlin, a également été conçue pour la finale. Pour la première fois dans l’histoire de la compétition reine, chaque ballon portait la mention des deux équipes, du stade, de la ville, de la date et de l’heure du coup d’envoi du match pour lequel il était utilisé.
Afrique du Sud 2010 : le Jabulani
Le design de Jabulani (« célébrer » en Zulu) présentait onze couleurs différentes, à l’image des onze joueurs d’une équipe de football, des onze langues officielles de l’Afrique du Sud, et des onze villes initialement pressenties pour accueillir la première Coupe du Monde organisée sur le continent africain.
Fabriqué avec huit panneaux en trois dimensions thermocollés formant une sphère parfaite, le Jabulani disposait d’un revêtement destiné à offrir une adhérence et un contrôle de haute qualité en toute circonstance.
Comme en Allemagne, une édition spéciale dorée, le Jo’bulani, a été utilisée pour la finale à Johannesburg.
Brésil 2014 : le Brazuca
Le Brazuca a subi la procédure d’évaluation la plus rigoureuse qu’aucun autre ballon officiel de la Coupe du Monde n’avait subie avant lui. Pour l’occasion, plus de 600 joueurs professionnels et 30 équipes de scientifiques ont été mobilisés, et toute une batterie de tests obligatoires ont été réalisés en laboratoire.
Avec ses six panneaux en formes d’hélices, sa surface à la structure innovante et sa symétrie étaient destinées à améliorer son aérodynamisme, sa stabilité, son toucher et son adhérence.
Plus d’un million de personnes ont voté pour choisir le nom du ballon, et c’est donc « Brazuca » qui est ressorti, un terme employé par les Brésiliens pour exprimer la fierté de leur mode de vie. Les couleurs et les lignes tourbillonnantes présentes sur les panneaux rappelaient les bracelets porte-bonheur très répandus dans le pays.
Cette fois encore, adidas a créé une version avec des lignes dorées spécialement pour la finale, le Brazuca Final Rio.
Russie 2018 : le Telstar 18
Le Telstar 18 était tourné vers l’avenir tout en s’inspirant du passé. Par son design, il rendait hommage à l’emblématique ballon fabriqué 50 ans plus tôt. Ses motifs pixelisés reprenaient ainsi ceux du modèle original de 1970, le premier ballon d’adidas pour une Coupe du Monde.
Il était en revanche extrêmement futuriste par sa conception, puisqu’il était doté d’une puce NFC (communication en champ proche) permettant aux supporters et supportrices d’interagir avec le ballon via leur téléphone.
Composé de six panneaux texturés collés, et non cousus, le Telstar 18 garantissait une grande précision et une faible absorption de l’eau, afin de permettre un haut niveau de performance.
La version classique a été utilisée lors des matches de groupes, tandis qu’une version rouge baptisée « Telstar Metcha » a été dévoilée pour la phase à élimination directe. En russe, le terme « metcha » signifie « rêve » ou « ambition ».
Qatar 2022 : l’Al Rihla
Pour son 14e ballon officiel de la Coupe du Monde consécutif, adidas a créé celui qui se déplace le plus rapidement dans l’air. Avec le dynamisme et la vivacité de ses couleurs, Al Rihla – qui signifie « le voyage » en arabe – tirait son inspiration de la culture, de l’architecture, des bateaux traditionnels et du drapeau du Qatar.
Il incluait notamment la technologie inédite de « ballon connecté », qui a permis aux arbitres de prendre des décisions plus rapides et précises, notamment en matière de détection du hors-jeu.
Composée d’un assemblage de 20 panneaux, la surface Speedshell du ballon était en polyuréthane, offrant davantage de précision ainsi qu’une meilleure stabilité et une meilleure rotation dans l’air. Son système CRT-core lui conférait également vitesse et fiabilité, pour un jeu de haute intensité. Grâce à toutes ces innovations, Al Rihla a largement contribué à l’une des éditions les plus mémorables de l’histoire de la Coupe du Monde.
Pour les demi-finales et la finale, adidas a dévoilé Al Hilm (« le rêve »), une édition spéciale où prédominaient des teintes dorées et des motifs triangulaires. Son design évoquait les étendues désertiques de la région de Doha, la couleur du Trophée de la Coupe du Monde et le drapeau du Qatar.