L’organisation du baccalauréat se modernise, et avec elle, le profil du président de jury. À l’approche de la session 2025, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, dirigé par Dr. Abdourahmane Diouf, hausse le niveau d’exigence. Maîtrise des outils numériques, rigueur administrative, sens de l’éthique : le rôle ne laisse plus place à l’improvisation.
Fini les approximations. Le président de jury devient un acteur central du dispositif, garant de la souveraineté, de la confidentialité et de la fiabilité des épreuves. « Il occupe une position stratégique », insiste le ministre, qui présidait un Séminaire de formation des présidents de jury du Bac 2025.
À ce titre, il doit impérativement être équipé d’un ordinateur portable compatible avec les logiciels de gestion fournis par l’Office du Baccalauréat, et en maîtriser l’utilisation, qu’il s’agisse de traitement de texte, d’édition ou d’impression de documents.
Au-delà des compétences techniques, poursuit Dr. Diouf, la connaissance du logiciel de suivi et d’optimisation de la scolarité devient un prérequis. Le président travaillera en lien étroit avec les superviseurs nationaux et devra faire preuve de rigueur, d’intégrité et de respect scrupuleux des règles déontologiques.
Autre mesure forte requise par le ministre Abdourahmane Diouf, l’usage du téléphone personnel est strictement encadré pendant les délibérations. Objectif affiché par les autorités : garantir l’équité entre tous les candidats et préserver l’intégrité d’un examen national placé sous haute surveillance.
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