L’heure est à la mobilisation chères consœurs, chers confrères. Mettons de côté certaines considérations et battons nous pour libérer PAN des griffes du monstre mais protéger la liberté de presse, un principe sacro-saint de notre profession. Je comprends les frustrations et récriminations de chacun de nous et c’est largement partagé. Mais aujourd’hui le devoir de défendre notre profession de sauver un confrère nous appelle et nous interpelle. Allons nous croiser les bras et observer jusqu’à ce que l’irréparable se produise?
Secouons nous et transcendons nos égos pour mener et gagner encore ce combat tous ensemble. Vous en êtes capables, nous en sommes capables.
Ce message est destiné aux responsables de rédaction dans ce groupe qui ne doivent manquer la réunion de demain
