Le Comité National de Gestion (CNG) de la lutte a dévoilé de nouvelles mesures destinées à mieux encadrer les blessures survenant avant la tenue des combats. Cette décision s’inscrit dans une volonté de protéger les intérêts des promoteurs, préserver l’équité sportive et renforcer la crédibilité du calendrier des affiches.
Les principales mesures prises
Le lutteur blessé reste redevable d’un combat envers le promoteur avec lequel il a signé le contrat initial. Il ne pourra pas s’engager avec un autre promoteur tant qu’il n’aura pas honoré cet engagement.
L’adversaire du lutteur blessé pourra contracter un autre combat auprès du même promoteur, afin d’éviter une longue période d’inactivité.
Au-delà d’un délai de trois mois, si le combat initial ne peut être reprogrammé, l’adversaire du lutteur blessé sera autorisé à signer avec un autre promoteur.
Ces décisions viennent répondre à des situations récurrentes dans le monde de la lutte avec frappe, où les blessures de dernière minute provoquent des reports fréquents et des pertes financières pour les organisateurs.
Le CNG précise que ces nouvelles dispositions visent à assainir la gestion des contrats et à instaurer plus de rigueur et de transparence dans le suivi des affiches programmées.

