La FIFA a récemment désigné l’Arabie Saoudite comme pays hôte de la Coupe du Monde 2034, un événement qui s’annonce exceptionnel et unique.
Ce tournoi marquera la troisième fois que l’Asie accueille cette compétition prestigieuse, après le Japon et la Corée du Sud en 2002, puis le Qatar en 2022. À l’instar de l’édition qatarie, celle de 2034 se tiendra en hiver pour éviter les chaleurs extrêmes de la région.
Une étape majeure pour le football asiatique Avec des infrastructures ultramodernes et un budget ambitieux, l’Arabie Saoudite promet d’organiser « la plus belle Coupe du Monde de l’Histoire », selon ses dirigeants. Ce choix s’inscrit dans la stratégie saoudienne de renforcer son influence internationale à travers des investissements massifs dans le sport. Le calendrier des prochaines Coupes du Monde est désormais complet : en 2026, la compétition se déroulera pour la première fois dans trois pays nord-américains (États-Unis, Mexique, Canada), tandis que l’édition 2030 sera répartie entre l’Europe (Portugal, Espagne), l’Afrique (Maroc) et l’Amérique du Sud (Argentine, Paraguay, Uruguay).
Un premier Mondial pour l’Arabie Saoudite En attribuant la Coupe du Monde 2034 à l’Arabie Saoudite, la FIFA poursuit sa politique d’ouverture vers de nouvelles régions. Cependant, ce choix suscite des préoccupations, notamment sur les conditions climatiques et les questions de droits humains, comme cela avait été le cas pour le Qatar en 2022.
L’annonce de l’Arabie Saoudite comme hôte de la Coupe du Monde 2034 annonce une décennie de bouleversements et de diversité dans le football mondial. Les attentes sont considérables, et le royaume devra relever le défi d’allier innovation et respect des traditions.