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Accueil » Violences d’Etat : le Sénégal sur la ligne rouge
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Violences d’Etat : le Sénégal sur la ligne rouge

18 février 20230
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Dans cette restriction rampante des libertés individuelles et collectives, les forces répressives d’Etat sont utilisées sans discontinuer par le pouvoir en place. Un pouvoir qui donne l’impression d’être aux abois, à moins d’une année de la date fatidique de l’élection présidentielle du 25 février 2024. SudQuotidien.

La justice, la police comme la gendarmerie sont à l’avant-garde dans cette stratégie de compression des libertés et droits consacrés par la Charte fondamentale du pays et les lois en vigueur. Ils sont ainsi florès à croupir dans les prisons, ces activistes ou militants de partis politiques, surtout de Pastef-Les Patriotes, poursuivis pour des délits pour lesquels Dame justice a utilisé tous les rouages de la loi afin de maintenir les anti-régime sous les liens de la détention (voir ci-dessus). Avant eux, des acteurs de la scène politique souvent challengers du Président Macky Sall à la magistrature suprême ont eu à subir, de manière outrancière, les foudres de la justice. Alors même que presque tous les droits à la défense ont été bafoués.

Les cas Karim Wade et Khalifa Sall sont là pour en témoigner. Condamnés respectivement à six et cinq d’emprisonnement avant de perdre leur éligibilité et d’être graciés, ils ont vu la plupart des juridictions extra-nationales ou supra-nationales (Cour de justice de la Cedeao, justice française ….) prendre le contrepied de l’Etat du Sénégal dans le déroulé de leur procès et/ou exécution politique. Pourtant, rien n’y fit et Dame justice a passé outre toutes les prescriptions internationales pour les condamner à des peines d’emprisonnement ferme suivies de perte de leur statut d’électeur. Sous la dictée d’un pouvoir qui instrumentalise la Loi, selon certains esprits ou autres partis de l’opposition. Le cas Ousmane Sonko de Pastef serait la énième tentative de liquidation d’un candidat à la présidentielle, via la justice et les procès en train d’être intentés, à tort ou à raison, contre le candidat sorti en troisième position de la dernière présidentielle, celle de 2019. De là à comprendre le radicalisme du maire de Ziguinchor face à l’exécution politique programmée qui se préparerait contre lui, il n’y a qu’un pas qu’on peut rapidement franchir.

Dans cette entreprise de répression des libertés, la gendarmerie et la police semblent se donner à fond dans le pseudo-maintien de l’ordre public. Le traitement réservé à Ousmane Sonko avant-hier, jeudi, sur son chemin de retour à son domicile, après le renvoi au 16 mars de son procès pour diffamation dans l’affaire dite Prodac, comme son interdiction de se rendre au point de presse programmé dans l’après-midi via des jets de gaz lacrymogènes, une sorte de mise en résidence surveillée non déclarée, sont des signaux qui alertent sur le sort aujourd’hui réservé à l’Etat de droit. Les journalistes arrêtés dans la foulée, qui ont vu leurs matériels confisqués ou vandalisés pour avoir filmé des images compromettantes du gazage d’Ousmane Sonko, peuvent être considérés comme portion congrue des dérives répressives d’un pouvoir aux abois. Pouvait-il cependant en être autrement, après les interdictions systématiques ou répressions violentes des manifestations de l’opposition ?

Surtout avec un pouvoir qui a franchi le Rubicon, lors de l’installation de la dernière législature du quinquennat de Macky Sall. Pour rappel, le 12 novembre dernier, un fait inédit et rarissime s’était déroulé à l’Assemblée nationale. Acculée par les députés de l’opposition qui exigeaient entre autres, des couleurs différentes pour distinguer les quatre candidats en liste pour le poste du président de l’Assemblée nationale et le départ de la salle de l’hémicycle des ministres élus députés sur la liste de la coalition au pouvoir Benno Bokk Yaakaar, la présidente de séance Aïda Sow Diawara, membre du pouvoir en place, avait fait appeler les Gendarmes qui ont investi la salle de l’hémicycle, pourtant réservée uniquement aux députés. L’intervention des Gendarmes à l’intérieur de l’hémicycle rappelait alors les douleurs évènements de 1962. A l’époque, à la suite d’un désaccord opposant l’ancien président de la République, Léopold Sédar Senghor, et le président du Conseil, Mamadou Dia, ce dernier avait fait déployer des Gendarmes qui avaient bloqué l’accès à l’Assemblée nationale aux députés proches du poète président qui voulaient voter une motion de destitution contre lui. 60 ans après, le pouvoir de Macky Sall faisait balbutier l’histoire.

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